IL est souvent abîmé sur les deux retombées à chaque extrémité près des ailes. pour la N-ième fois il s’agit d’une double tôle sans accès possible et il n’y a pas assez de place pour sabler et traiter. IL est rare de pouvoir stopper la rouille car ont ne s’occupe d’elle que de temps en temps, alors qu’elle travaille 24h/24h.
par contre ont peut freiner, des deux pieds. La technique que j’ai utiliser peu paraître barbare mais elle m’a donné pas mal de répit.
J’ai tout simplement pris ma perceuse et j’ai pratiqué une série de trous de 1cm environs, afin de pouvoir sabler en biais de chaque coté. j’ai ainsi pu assainir du mieux possible, l’intérieur de la double tôle (au moins coté extérieur) et j’ai put projeter un anticorrosion au phosphate. j’ai également fait sauter la partie perforée et j’ai colmaté a la résine et au mastique. un trait marron de rouille est réapparu presque tout de suite à la jonction de la résine et du capot, mais je pense que cela vient du fait que je n’avais fait qu’un simple raccord et que l’épaisseur de peinture était trop faible.
Le reste du capot n’a pas bougé, tout du moins pas là ou j’avais traité sous la double tôle. Si le votre est très atteint vous pouvez bien sur essayer d’en trouver un autre. La tache est rude car il sont tous rouillés ou bien il ont pris des chocs, sans parler des gamins qui ont sauté dessus a pied joint...