restauration du train arriere

preambulle
( séparation du pont et de l’arbre de transmission de la coque et des lames..)

pour commencer il convient de caler la voiture pour lever les deux roues... une fois déposé les roues on peut commencer a s’attaquer au démontage.
vous avez déjà lu ça quelque part ? c’est normal c’était pareil pour le pont !!
pour ce qui est du démontage une bonne partie des opérations sont déjà décrites dans la partie demontage du pont aussi je vous laisse vous reporter a cette partie pour ce qui est de tomber le pont ce qui est la première étape de cette opération. une fois terminé vous devriez obtenir quelque chose comme ça
(ne le regardez pas trop fixement ça peut inquiéter au début !!)

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mais au final
pas grand chose d’insurmontable mais certaines parties sont assez pénibles notamment la remise en place du pont et les bagues d’étanchéité du pont...
maintenant c’est finit ?? et bien ROULEZ JEUNESSE !!!!!!

démonter les lames de ressort

démonter puis désolidariser les lames :

Maintenant que les lames sont déposées il faut les séparer les unes des autres pour vérifier qu’il n’y en a pas de cassées , les traiter et les reconditioner.. au début je craignais que la force des lames soit telle qu’une fois séparées je ne puisse puis les rassembler sans un outil spécial permettant de les compresser ... en fait il n’en est rien et une simple pression du poignet suffit a les rapprocher ou un simple serre joint tout bête...

Si la force nécessaire au remontage n’est pas très forte pour le démontage il est prudent de bloquer les lames en position serrées avec une pince étau ou le serre joint pour éviter de forcer sur le vis centrale qui les maintient solidaires.
si vous ne le faites pas vous risquez de casser le dit vis et il est bien particulier aussi faisons tout pour le conserver en état..( entre autre prenez soin de passer la partie qui dépasse du boulon a la brosse métallique puis au dégripant ça ne peut pas faire de mal...
les lames sont assez faciles a garder dans l’ordre . deux types de lames : fines plus deux épaisses toutes sont de la plus grande a la plus petite. pour ne pas vous tromper voici une photo de la position des deux épaisses :

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lors du traitement anticorrosion il serait apparemment mieux de ne pas traiter les parties en fortement pour que ça travaille librement ... moi j’ai tout peint car je me suis dit que c’est pas la peinture qui va empêcher les lames de naviguer...par contre n’oubliez pas de les graisser et de déboucher les graisseurs ..

pour ce qui est des Silentblocs c’est comme d’hab rien de plus compliquer que ça .. le remontage ne pose pas de difficulté.. ne vous trompez pas dans l’ordre sinon le graissage ne se ferait pas en effet certaines lames sont fendues en leur centre pour permettre a la graisse de passer d’une lame a l’autre.. les lames sont traitées remonter toutes les pièces ensembles pour les repositionner sur la voiture. .sans serrer quoi que ce soit.

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voilà c’est prêt


remonter les freins

remonter les freins

je sais pas si vous êtes comme moi mais la mémoire c’est va bien mais sur toute une restauration et sur plusieurs années j’arrive plus a suivre !!
j’ai donc souvent du aller faire des repérage sur les épaves !! hélas tout le monde n’en possède pas et vous risquez d’être embêtés notamment pour retrouver le tracer des canalisations sur le pont et sur l’arbre de transmission ou le maître cylindre.. aussi voici une série de photos instructives..

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gros plan sur la "tétine de bocal de lookeed .

a gauche une tétine d’estafette ( et sont bocal ) a droite une tétine neuve mais craquelée de 203 .

j’ai eu pas mal de soucis avec celle-ci en effet même des tétines neuves arrivaient a très vite se craqueler...* j’ai donc d’une part diminué le diamètre de la tuyauterie ( rouge )qui écartait trop le caoutchouc et j’ai récupéré une tétine d’estafette renault..
elle sont souvent en bon état car elles sont tellement sous la voiture qu’elle ne voient pas le jour aussi elles sont pas craquées du tout.. celle que j’ai mise semble résister pour le moment
a propos de cette tuyauterie rouge il semble bien qu’il y ait eu deux montages avec deux diamètres différents en effet ma durite d’origine était au moins un ou deux diamètres plus grosse que celle que j’ai récupérée sur mon épave donneuse de pièce du coup elle tenait le caoutchouc de la tétine écarté au dela de sa tolérance et les tétines craquaient donc soit deux modèles soit ma durite n’était pas une durite de 203 mais de je ne sais quel autre modèle au canalisation plus importantes


bon, ça y est vous avez reconstitué le puzzle et vos canalisations de frein suivent a nouveaux a peu prés le bon tracé .. IL reste a remonter les garnitures et les pistons ...heuuu ..... et le tambour bien entendu !! pas grand chose de délicat dans cette opération somme toute assez proche de celle réalisée pour l’avant
pour ceux qui ont un doute sur la place d’une pièce voici le modèle

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